Il y a certains films que l’on peut qualifier de chefs-d’œuvre et lorsqu’ils concernent l’univers le la mer, nous en sommes ravis. La Forme de l’eau, ou The Shape of Water, est un film fantastique américain signé Guillermo del Toro. Sorti en 2017, il décroche pas moins de quatre Oscars, dont celui du meilleur film.
Elisa Esposito est une jeune femme sans ambition et dont la vie semble sans intérêt. Muette et sans famille, elle n’a que deux amis dans la vie, un vieux monsieur gay qui n’est autre que son voisin de palier et sa collègue de travail, en surpoids et expansive de surcroît.
Mais Elisa a des chansons plein la tête, des rêves de cabaret, de paillettes et de spectacles. Elle n’hésite d’ailleurs pas à entamer quelques pas de danse avant de quitter son appartement situé au-dessus d’un cinéma désaffecté avant de se rendre au travail.
Elisa travaille comme femme de ménage dans un laboratoire tenu par une main de fer par les autorités américaines. Si ses supérieurs n’ont aucune considération pour elle, c’est pourtant là qu’elle va faire une rencontre étonnante, un humanoïde amphibien capturé en Amazonie.
Une histoire d’amour… fantastique
Nous sommes en pleine guerre froide, quand Américains et Soviétiques se livraient une lutte sans merci vers une quelconque avancée technologique. Et c’est de cet être doté de capacités nouvelles mais maltraité par quelques expériences scientifiques dont elle va s’amaroucher.
Réalisé en 2017 par Guillermo del Toro, La Forme de l’eau est un film fantastique américain tourné à Toronto et à Hamilton, au Canada. Acclamé par la critique, il est notamment récompensé par un Lion d’or à la Mostra de Venise et quatre Oscars (film, réalisateur, décor et musique).
Sur un air d’Amélie Poulain, il met en scène l’actrice britannique Sally Hawkins dans le rôle principal, Doug Jones (déjà vu dans Mimic, Hellboy, Le Labyrinthe de Pan…) dans celui de l’homme amphibien, Michael Shannon (le méchant flic), Richard Jenkins (le voisin gay) et Octavia Spencer (la collègue déjantée).