Il y a 20 ans, Charles Trenet disparaissait à l’âge de 87 ans. L’occasion de revenir sur une chanson emblématique dans le répertoire d’un auteur considéré comme l’un des plus grands artistes français. La Mer, une chanson écrite en 1943 lors d’un voyage en train entre Montpellier et Perpignan et plus précisément lors du passage au bord de l’étang de Thau, à Sète. Plus de 70 millions de copies de ce titre repris à de multiples reprises ont été vendues.
La Mer
La mer
Qu’on voit danser
Le long des golfes clairs
A des reflets d’argent
La mer
Des reflets changeants
Sous la pluie
La mer
Qu’au ciel d’été confond
Ses blancs moutons
Avec les anges si purs
La mer
Bergère d’azur, infinie
Voyez
Près des étangs
Ces grands roseaux mouillés
Voyez
Ces oiseaux blancs
Et ces maisons rouillées
La mer
Les a bercés
Le long des golfes clairs
Et d’une chanson d’amour
La mer
A bercé mon cœur pour la vie
La mer
Qu’on voit danser
Le long des golfes clairs
A des reflets d’argent
La mer
Des reflets changeants
Sous la pluie
La mer
Au ciel d’été confond
Ses blancs moutons
Avec les anges si purs
La mer
Bergère d’azur, infinie
Voyez (voyez)
Près des étangs (près des étangs)
Ces grands roseaux mouillés (voyez ces roseaux)
Voyez (voyez)
Ces oiseaux blancs (ces oiseaux blancs)
Et ces maisons rouillées (la-la-la-la-la-la)
La mer
Les a bercés (les a bercés)
Le long des golfes clairs
Et d’une chanson d’amour
La mer
A bercé mon cœur pour la vie
Quel est le touriste arrivant au pied de la “grande bleue” n’a pas fredonné quelques mesures de “La Mer” qu’on voit danser, le long des golfs clairs” … Qui ?